La première décision importante à prendre par les dirigeants porte sur la structure commerciale de la start-up : les entités commerciales sont supervisées par l'Autorité de réglementation de la comptabilité et des entreprises (ACRA), qui prescrit un nombre de structures commerciales parmi lesquelles les dirigeants d'entreprises de biotechnologie peuvent choisir lorsqu'ils s'installent à Singapour. 

La seconde décision porte sur la construction ou non d'un laboratoire dès la création de l'entreprise qui peut être à très forte intensité de capital, cela concerne notamment les start-ups de biotechnologie dont les investissements initiaux seront canalisés vers différents besoins au départ.
Le troisième point essentiel pour les dirigeants porte sur les types d’incitations : le gouvernement encourage activement la création d'activités économiques en proposant des mesures incitatives et des nombreux programmes dont les start-ups peuvent tirer parti. Grâce à ces mesures, on peut s'attendre à ce que les start-ups de biotechnologie améliorent leurs capacités ou étendent leur présence ou la portée de leurs opérations dans la cité-état.

La quatrième décision concerne la voie de résidence ou d'immigration. Les entrepreneurs individuels qui souhaitent rester à Singapour sur le long terme ont la possibilité de demander des visas et des programmes d'immigration qui peuvent les aider à faciliter leur résidence à Singapour. 

Enfin, la question du renforcement des capacités de l'entreprise est capitale : les dirigeants de startups de biotechnologie disposent désormais de nombreuses options lorsqu'il s'agit de renforcer les capacités de leur entreprise, et nombre de ces programmes et activités sont lancés ou supervisés par Enterprise Singapore, un conseil statutaire relevant du ministère du Commerce et de l'Industrie. 

Source : « 04/01/2023, Weekender » 
Crédit photo: Weekender